Une tradition musicale séculaire résonne à nouveau dans l'Abbaye de Parc grâce au chef-d'œuvre Silentii.
Staf Kamers installa ses premières ruches près de la grange dîmière de l’abbaye dans les années 80. Il possède aujourd’hui un beau rucher moderne de 15 à 20 ruches. Staf renoue ainsi avec l’une des fonctions primitives de l’abbaye.
Filip Noël, le père économe de l'Abdij van Park, vit encore avec quatre autres pères norbertins à l'abbaye. « Si nous n'étions pas là, ce ne serait qu'une vieille abbaye. »
Myriam exploite la boutique de l'abbeye. Initialement composée d’un parasol, d’un étal et de quelques salades, la boutique est devenue un magasin bio à part entière en à peine 5 ans. « Quelqu’un est même venu me demander si je vendais des hosties ! »
Les archives de l’abbaye du Parc recèlent de véritables trésors. L’un de ces joyaux est la thèse de doctorat manuscrite du professeur Henri M.D.A.L. Torfs, mieux connu sous le nom de Rik. Mais comment ce manuscrit est-il arrivé là ?
Le 11 novembre, le nouveau Carillon de la paix résonnera depuis le clocher de l'église abbatiale. Un homme éprouvera une grande fierté à cette occasion : Luc Rombouts, carillonneur de l'université, qui est à l'origine de ce projet.
Zeger Debyser est le président de l’ASBL « Les Amis de l’abbaye du Parc ». Les Amis contribuent à révéler le patrimoine, à entretenir les jardins et à développer le rayonnement de l’abbaye. « Ensemble, nous rendons cet endroit encore plus beau. »
Le KWB Heverlee Park soutient les initiatives sociales. « Nous organisons de multiples activités, dont des fêtes dans le parc, des brunchs, des excursions… Le but est de rapprocher les gens », nous explique le président, Johny Behets.
L’abbaye du Parc peut se targuer d’un riche passé. Les milliers de livres et écritures des archives en sont les témoins silencieux. Cette mine d’informations est dépouillée par des riverains bénévoles: Christine, Kristiaan et Leo.
Brecht Goussey (46) est l'un des trois agriculteurs actifs dans la culture bio à petite échelle sur le site de l'abbaye. Brecht a créé De BoerEnCompagnie avec ses collègues en 2017. « Quand j'étais enfant, je voulais déjà devenir agriculteur! »
Personne d'autre qu'André Kockaerts (72 ans) n'a probablement passé autant de temps sur le site de l'abbaye. Il est sacristain, organiste, chef de chorale... Et il est également très bavard...
Le 2 septembre, un doctorant pas comme les autres se tenait dans la salle des Promotions de la KU Leuven. Jozef (Jef) Van Osta, prieur de l'Abbaye du Parc, y défendait sa thèse sur l'histoire de la facture d'orgues à l'abbaye d'Averbode ; 570 pages!
Wilfried Van de Sande venait déjà à l'Abbaye du Parc quand il était petit garçon. « Mon grand-père habitait autrefois à la Mariapoort. J'ai même envisagé un jour d'ouvrir ici mon propre restaurant ! »
Quand Frank Mertens de la brasserie De Abdijmolen parle de l'Abbaye du Parc, seuls des superlatifs lui viennent à l'esprit. « Pas étonnant que notre terrasse soit toujours bondée », dit-il en souriant.
Même avant la restauration, « Aide à l'Église en Détresse » est arrivé à l'Abbaye du Parc. "D'abord, nous avons modernisé la Maison du Chariot. Maintenant, nous aidons à préserver le caractère religieux de l'abbaye", racontent Uma et Marina de l'organisation caritative.
Au niveau de l'étang 4 qui jouxte le Norbertijnenweg, les grenouilles vertes s'en donnent actuellement à cœur joie. Nous nous sommes rendus sur place et avons enregistré le bruit impressionnant. Écoutez Kermit et ses amis!
Aneliya, d'origine bulgare, a visité l'Abbaye du Parc avec une amie, qui vit ici en Belgique. Elle a été très impressionnée par le site : « Cet endroit a une âme. On dirait qu'un voile mystique et silencieux recouvre l'abbaye ».
Sofie habite avec sa famille à deux pas de l'Abdij van Park. « Nous sommes de véritables citadins mais adorons passer un moment sur le site de l'abbaye. »
Le professeur Paul De Grauwe (71 ans) connaît l'Abbaye du Parc depuis toujours. « Le site revêt une grande importance, tant sur le plan religieux que culturel. J'y suis passé plusieurs fois au cours de ma carrière, mais j'y reviens aujourd'hui encore plus. »
Mercy Sylvan Nafulah (26) a découvert l'abbaye grâce à son ami Marcel, lors de leur premier rendez-vous romantique. Ce fut le coup de foudre. « Nous y retournons souvent pour passer du temps ensemble », sourit Sylvan.
Charlotte (22 ans) et son chien Spike passent trois à quatre fois par jour par l'Abdij van Park. « Il y a toujours quelque chose à voir : je rentre systématiquement chez moi avec une nouvelle histoire. »
Jogchum (41) est ornithologue et il se rend souvent à l'Abbaye du Parc avec ses enfants. « On y trouve de très nombreuses espèces animales. Mes fils voient ces oiseaux pour la première fois et leur enthousiasme est contagieux. »
Chantale est une photographe amatrice qui aime se rendre sur le site de l'abbaye. « La luminosité dans l'Abbaye du Parc est particulièrement belle. Au fil de la promenade, on voit constamment des choses différentes. »
L'Abbaye du Parc est un lieu où Jana va chercher la tranquillité. « On peut y oublier un instant l'effervescence du quotidien. »
Sarah (25 ans) apprécie énormément l'Abbaye du Parc. « Quand on va souvent au site de l'abbaye, on y suit vraiment le rythme des saisons ! »
Karen se rend régulièrement à l'Abbaye du Parc en vue d'une bonne dose de littérature. « Selon moi, c'est un endroit idyllique pour dévorer un livre. Il y règne un silence absolu, ce qui permet de s'immerger complètement dans l'histoire. »
Grand amateur de cyclisme, Sven traverse souvent l’abbaye du Parc. « Ici, rien ne vous énerve : pas de circulation, pas d’agglomérations laides… Cet endroit me rend profondément heureux. »
Manuel, originaire des Pays-Bas, a visité l’Abbaye du Parc en compagnie de son amie Leilani. « Nous avons énormément apprécié l'atmosphère de l'abbaye. Il n'y a rien de comparable à Amsterdam. »
Asli et sa famille adorent visiter les parcs, partout dans le monde. Récemment, l’Abbaye du Parc tient une place spéciale dans son cœur.
Mano Jai (23 ans) a découvert l’abbaye quand il était étudiant. « Au cours de ma troisième d’année d’études, je suis tombé par hasard sur l’abbaye. Elle m’a tapé dans l’œil immédiatement ! »
Raf habite depuis plus de 10 ans à côté de l’abbaye. Il voit donc le domaine au quotidien. « C’est un superbe domaine naturel, proche de la ville et tout près de chez moi. »
Eline (31 ans) aime passer ses heures libres à se promener. « Cet endroit est tellement beau. Pendant mes balades, je repense avec amour à mes grands-parents, qui m’ont fait découvrir le site de l’abbaye quand j’étais petite. »
Raj a découvert l'abbaye avec sa femme. « Nous sommes arrivés ici par hasard, lors d'une promenade. Aujourd'hui encore, j'aime m'y promener. »